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Économie

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LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ

 

Les objectifs du Millénaire

pour DéveloppemenT

 

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Objectifs du Millénaire pour le Développement

LE BILAN À MI-PARCOURS

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Aimé D. MIANZENZA

LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ :

UNE ONG ÉTATSUNIENNE JUGE LES PAYS RICHES À L'AUNE DE LEURS POLITIQUES GLOBALES

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L'UNION EUROPÉENNE PRONE-T-ELLE LA PROMOTION DE L'AVORTEMENT POUR LUTTER CONTRE LA MISÈRE EN AFRIQUE ?

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LES DERNIÈRES GRANDES FAMINES

EN AFRIQUE

 

Aimé D. Mianzenza

L'ENSEIGNEMENT SOCIAL DE L'ÉGLISE ET LA QUESTION DU DÉVELOPPEMENT

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ESE et sous-developpement

 

 

Aimé MIANZENZA et Jean BAKOUMA

CROISSANCE ÉCONOMIQUE

ET PAUVRETÉ DANS LE BASSIN DU CONGO

 

Économistes, CesbcLa croissance économique est une condition nécessaire du recul des inégalités. Mais elle n’est pas une condition suffisante. Ce qui est décisif, ce sont les modalités de la répartition de ses fruits ; celles-ci dépendent beaucoup des pouvoirs publics et du rapport des forces dans le monde du travail entre les syndicats et le patronat.

Mais d'où vient la croissance économique ? Comment expliquer l'augmentation des quantités produites ? Pourquoi malgré l’abondance des ressources naturelles, la majorité de la population vit dans la pauvreté ? Pourquoi les pays du bassin du Congo restent désespérément pauvres ?

Le présent article tente de répondre à ces questions en prenant appui sur les économies des pays du bassin du Congo. Il examine les facteurs de la croissance, leurs forces, leurs limites (facteurs de production, capital, travail, efficacité de leur combinaison repérée par la productivité). Il dégage les éléments qui accélèrent la paupérisation de la population et les facteurs qui maintiennent ces pays dans le sous-développement.

 

 

Aimé D. MIANZENZA

L'AFRIQUE FACE AU DÉVELOPPEMENT

DU SOUS-DÉVELOPPEMENT

 

Depuis quelques années, à chaque réunion du G8, des chefs d'États africains sont invités à venir parler de l'Afrique à leurs homologues et chefs de gouvernement des huit pays les plus riches du monde. Les questions abordées tournent toujours autour du développement économique du continent africain : annulation de la dette, lutte contre pauvreté, mobilisation des financements en faveur du développement et, depuis peu, immigration clandestine, etc. Au sortir de là, les africains repartent avec les promesses des pays développés de mobiliser plus de ressources pour aider au développement de leur continent.

 

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DIVERSIFICATION DE L’ÉCONOMIE :

QUELLE INDUSTRIALISATION POUR  LE BASSIN DU CONGO ?

La diversification de l'économie est un thème qui revient régulièrement dans le discours des pouvoirs publics des pays du bassin du Congo. Parmi les stratégies souvent évoquées pour atteindre cet objectif, l'industrialisation tient une place prépondérante. Mais quels seraient la finalité d’une telle industrialisation, les moyens à mettre en œuvre et les résultats attendus ?

Le présent article qui s’appuie tout autant sur l’histoire de l’industrialisation des pays développés  que sur la théorie économique tente de répondre à ces questions.

 

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AFRIQUE DU SUD : ECONOMIE LA PLUS COMPETITIVE D’AFRIQUE ?

Par Aimé D. MIANZENZA

C’est la conclusion qu’on est tenté de tirer du classement publié jeudi 10 mai 2007 par le Centre sur la Compétitivité Mondiale de l’International Institute for Management Development (IMD), une Buniness School située à Lausanne en Suisse. Selon l’IMD qui  a analysé l’évolution de la compétitivité sur les dix dernières années pour les 55 pays de son échantillon, l’Afrique du Sud vient au 50e rang, juste après le Brésil (49e) mais avant l’Argentine (51e), la Pologne (52e), la Croatie (53e), l’Indonésie (54e) et le Venezuela (55e).

Pour accéder au Centre sur la compétitivité mondiale cliquez sur IMD

 

 

Aimé D. MIANZENZA

 

CRISE ECONOMIQUE

ET REGRESSION SOCIALE

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SUSTAINABLE FOREST 

MANAGEMENT IN AFRICA :

 CONSTRAINTS, COSTS AND CONDITIONS

Jean BAKOUMA* and Gérard BUTTOUD**

* Cesbc and INRA-ENGREF-Nancy

** INRA-ENGREF-Nancy

Avalaible from The Tropical Forest Update (TFU), A Newsletter from The International Tropical Timber Organization (ITTO).

To view the paper, click below :

Sustainable Forest Management in Africa :  Constraints, Cost and Conditions

L'article est disponible à la page Économie

 

 

Jean-Placide KEZA

 

SALAIRE ET PAUPERISATION URBAINE EN AFRIQUE NOIRE

 

Pour lire l'intégralité de l'article, voir : GRANIER (R.) et ROBERT (M.), (Sous la direction de), CULTURE ET STRUCTURES ÉCONOMIQUES, Paris, Economica, 2002, 311 pages, Chapitre IX, pp. 217-240.

 

 

REPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

PERCÉE TONITRUANTE DE LA CHINE  EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO :

6 MILLIARDS DE US$ DE PRÊT QUI  REND NERVEUX LES EUROPEENS

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Le deuxième colloque du Cesbc

se tiendra à Paris,

le samedi 10 octobre 2009

sur le thème

 

LA CHINE EN AFRIQUE

 

 

AFRIQUE

 

Relations sino-africaines :

Enjeux stratégiques

Espoirs, Illusions perdues

Inquiétudes de l'Europe et des États-Unis

 

La Chine débarque en Afrique avec des arguments de taille pour les dirigeants africains. Riche de plus de mille milliards de dollars de réserves de change, elle cherche à  investir sur le continent sans parler de démocratie, à construire des infrastructures aux bénéfices des populations; ces dernières applaudissent. L'Occident d'abord indifférent a commencé à prendre la mesure du danger pour les débouchés de ses produits. Il s'inquiète de l'avancée de la Chine sur un continent qu'il a longtemps considéré comme sa chasse gardée. Quels sont le enjeux stratégiques des relations entre la Chine et l'Afrique ? Qu'attendent les deux partenaires de cette coopération ? Quels sont les espoirs et pourquoi des désillusions commencent-elles à apparaître coté africain ? Pourquoi la coopération entre la Chine et l'Afrique inquiètent-elle l'Europe et les États-Unis ? Voilà les questions qui feront l'objet de débats au colloque.

 

COMMERCE INTERNATIONAL

 

Organisation Mondiale du Commerce

Le 31 juillet 2008

Aimé D. MIANZENZA

L'échec des négociations de Genève : un répit pour l'agriculture africaine ?

 

Les États-Unis, l’Union européenne, le Brésil et l'Inde sont devenus le groupe-clé de la négociation dans le cycle de Doha. Jusque là, tout se passait entre les États-Unis et l’Union Européenne. L’affrontement entre les Etats-Unis et l’Union Européenne d’une part, le Brésil et l’Inde d’autre a ainsi dessiné une opposition entre les pays du Nord et ceux du Sud.

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Aimé D. MIANZENZA

LE LIBRE-ÉCHANGE EN QUESTION

EN AFRIQUE

 

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CEMAC

Aimé D. MIANZENZA

 

FIN DU RÉGIME DE PRÉFÉRENCES COMMERCIALES

NON RÉCIPROQUES.

LA CÉMAC PEUT-ELLE TENIR LE CHOC ?

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Jean BAKOUMA,

Contraintes et freins au commerce

intra-africaiN DE BOIS

 

Le développement des échanges Sud-Sud est devenu une condition essentielle de l'accroissement de la place des pays en développement dans le commerce mondial. Un tel développement requiert que soient levés au préalable les obstacles qui entravent le commerce Sud-Sud, notamment intra-africain.

Le commerce international est organisé en flux et reflux verticaux : les pays africains vendent au Nord et achètent au Nord, en revanche, les échanges entre pays africains ou pays du Sud demeurent insignifiants

Depuis l'éclatement de la crise dans les pays du Nord, les modifications enregistrées dans le commerce international ont coïncidé avec un accroissement des échanges au Sud. En Afrique subsaharienne par exemple, la grande vulnérabilité extérieure et la tendance à la marginalisation du commerce international en dépit des programmes de stabilisation et d'ajustement ont suscité un retour à l'objectif d'intégration régionale. Cette dernière reposant sur un protectionnisme conçu au niveau sous-régional et visant à réaliser des complémentarités en déconnexion avec l'environnement international (Hugon 1988).

L'article est au format pdf.

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Commerce intra-africain de bois

 

 

 

Jean BAKOUMA

LE MARCHÉ DES BOIS TEMPÉRÉS

Revue conjoncturelle*

* in Cyclope-2006, Les marchés mondiaux des matières premières, Paris, Economica, pp 431-438.

1. Introduction

Le marché mondial des bois tempérés offre un panorama assez différent selon les pays et selon les produits. Comme pour l’année 2004, deux pays, par leur dynamisme économique se distinguent nettement des autres producteurs et consommateurs de bois tempérés en raison de l’activité soutenue dans la construction des bâtiments résidentiels : Les États-Unis et la Chine.

2. Des besoins en bois croissants pour les deux plus grands marchés actuels

Aux Etats-Unis, selon le « Western Wood Products Association » (WWPA), la consommation de bois de construction a augmenté de 7% les cinq premiers mois de 2005 par rapport à 2004. Le « National Association of Home Builders » dénombre au 20 décembre 2005, 2155 mille unités résidentielles contre 2103 mille à la même date en 2004.

L’industrie de la construction représente selon le « Census Bureau » plus de 25% de l’investissement en dollars et 5% en valeur de l’ensemble de l’économie. Par ailleurs, l’indice de la production des produits papetiers, un important déterminant de la pâte à papier et de l’utilisation des résidus de bois a augmenté légèrement durant le premier semestre de 2005 par rapport à 2004. L’indice (1997=100) de la production de papier pour cette période était de 95,8, soit 1% au-dessus de ce qu’il était en 2004 pour la même période. Le « National Association of Home Builders » les Etats-Unis et la Chine.

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Le marché des bois tempérés

 

 

 
 

Aimé D. MIANZENZA

 

Les performances de l'économie africaine

seraient largement sous-évaluées

Un article paru dans le Monde économie de mercredi 23 mars 2010 signé de Philippe ASKENAZY, nous apprend que selon des travaux récents   revisitant en profondeur l'évaluation économique de l'Afrique au cours des dernières décennies, les performances économiques du continent seraient largement sous-évaluées en raison de la faiblesse de l'appareil statistique.

Une méthode alternative d'estimation de la croissance basée sur des enquêtes réalisées auprès de centaines de milliers de ménages pour mesurer le niveau de consommation et d'équipement des foyers dans de nombreux pays d'Afrique montre que la pauvreté se serait effondrée depuis le milieu des années 1990.

À partir de ces indicateurs alternatifs, l'estimation de la croissance de l'Afrique subsaharienne depuis 1990 se retrouve plus de trois fois supérieure à celle habituellement acceptée, soit entre 3 % et 4 % par an. Preuve de la robustesse de ces résultats, cette croissance n'est pas due à une catégorie particulière d'indicateurs ; presque toutes les variables connaissent une amélioration nette.

L'article est disponible sur le site du journal Le Monde.

Pour y accéder, cliquez ici

 

 

Aimé D. MIANZENZA

DIVERSIFICATION DE L’ÉCONOMIE :

QUELLE INDUSTRIALISATION POUR LE BASSIN DU CONGO ?

 

La diversification de l’économie est un thème qui apparaît régulièrement dans le discours des pouvoirs publics dans les pays du bassin du Congo. Pendant la période de reflux de la croissance économique et donc de celui des ressources, la diversification est placée au cœur de tous les débats de politique économique. Au cours de la décennie 80 et jusqu’à la fin de la première moitié des années 90, la stabilisation de la croissance économique et des revenus était un des résultats recherchés par la diversification en combinaison avec d'autres mesures de restructuration de l'économie mises en œuvre dans le cadre des politiques d'ajustement structurel. À partir de la deuxième moitié des années 90, la diversification devient une composante de la politique de lutte contre la pauvreté, un pilier stratégique des politiques de croissance favorable aux pauvres pour reprendre une rhétorique vugarisée par les institutions internationales spécialisées dans les interventions en milieu rural.

Dans le bassin du Congo, les économies nationales sont caractérisées par une très forte dépendance à l’égard d’un nombre limité de produits : le pétrole (Angola, Congo, Gabon, Guinée équatoriale), la production minière (République démocratique du Congo) et la production agricole (Burundi, Cameroun, Centrafrique, Rwanda, São Tomé & Príncipe), le pétrole et un produit agricole (Cameroun). Par exemple pour les pays à dominance agricole, selon la CNUCED sur la base d’un indice 100 en 1990, les termes de l’échange des produits agricoles africains sont passés de 185 en 1960 à 85 en 2000. Entre 1960 et 2002, la part des exportations africaines (hors Afrique du Sud) dans le commerce mondial est tombée de 0,9 % à 0,3 %. La diversification apparaît ainsi comme indispensable pour sortir de l’économie de « monoproduction », pour casser le poids exorbitant d’une poignée de produits sur les économies nationales.

Parmi les stratégies régulièrement évoquées par les gouvernements l’industrialisation tient une place prépondérante. En effet, les exportations des pays du bassin du Congo sont largement dominées par les produits à faible valeur ajoutée. Une industrialisation permettrait donc de valoriser substantiellement leurs exportations africaines à l’image de ce qui a commencé à se faire dans la filière bois, avec la mise en place de politique destinée à décourager l’exportation de bois en grumes. L’industrialisation des pays du bassin du Congo n’est donc pas à discuter dans son principe. En 2006, sept pays du bassin du Congo appartiennent sont classées par la CNUCED  dans la catégorie des pays moins avancés (PMA), c'est-à-dire de pays caractérisés par de faibles revenus par tête, une insuffisance de ressources humaines et le manque de diversification économique (Nations Unies 1971). Les besoins à satisfaire pour les populations sont donc énormes. Dans ce contexte, l’industrialisation est une nécessité.

Mais quelles seraient la finalité d’une telle industrialisation, les moyens à mettre en œuvre et les résultats attendus ?  S’appuyant sur l’histoire de l’industrialisation des pays développés et sur la théorie économique, l'article tente de répondre à ces questions.

 

 

 

 

Aimé Dieudonné MIANZENZA

Retour sur six semaines pour sauver l'euro

Au Sommet de Bruxelles du 27 octobre 2011, les pays de la zone euro étaient parvenus à un plan de sauvetage financier de la Grèce engluée dans une très grave crise de la dette souveraine. Mais la volonté du Georges Papandréou, de consulter par référendum le peuple grec ce plan a provoqué une levée de boucliers de la part  principalement de l'Allemagne et de la France. Convoqué à Cannes avant le  Sommet du G20, le Premier Ministre grec, soumis à des pressions tellement intenses voire à de menaces a fini par renoncer à cette consultation. Ce renoncement a été un soulagement pour les pays de la zone euro et les marchés financiers.

Cette péripétie a été beaucoup commenté dans les médias internationaux, dont Foreign Policy et Wall Street Journal. Beaucoup d'éditorialistes pensent que l'Europe échappe à tout contrôle démocratique. Désormais ce sont les technocratiques de Bruxelles qui décideront du sort des centaines de millions de citoyens européens. Pour sa part, Simon Nixon estime que l'action d'Angela Merkel et Nicolas Sarkozy fait défaut à l'idée européenne en décidant que « la zone euro est une union basée sur le volontariat, non pas au nom du droit des nations à décider d'elles-mêmes mais afin de protéger un principe selon lequel les pays de l'eurozone ne doivent pas être redevables de la dette des autres États membres ». La survie de la zone euro risque donc se faire au prix d'une aggravation du déficit démocratique, dont l'Europe souffre déjà comme le montre l'augmentation du nombre d'eurosceptiques dans tous les pays de l'Union Européenne. Avec la crise de la dette souveraine et la dégradation de la situation économique de nombreux pays, particulièrement l'Italie, l'Espagne et le Portugal, « les politiques économiques de l'Europe du Sud seront à l'avenir dictées par une élite technocratique située à Bruxelles », selon le Wall Street Journal.

 

Michel MILANDOU

De l’endoctrinement économique.

À propos de la dette ?

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Aimé D. MIANZENZA

Caritas in veritate

Quels enseignements pour l'Afrique Centrale ?

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Le 27 décembre 2008

Effondrement du secteur minier en

République démocratique du Congo

Par Aimé D. MIANZENZA,  Cesbc

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Le 17 juillet 2009

BENOÎT XVI

Nouvelle encyclique : CARITAS IN VERITATE

Synthèse

La mondialisation devrait s'éloigner du modèle actuel, mû exclusivement par le profit, et se doter de repères autres que le seul marché. Il y a donc urgence de la réorienter pour la rendre plus attentive aux besoins des pays pauvres du Sud et des couches sociales défavorisées du Nord.

La plupart des analyses de Benoit XVI sont déjà en filigrane dans les interventions précédentes du pape, ainsi que dans celles de son prédécesseur Jean-Paul II, notamment l'encyclique sociale Centesimus annus, de Jean-Paul II en (1991); de même que l'idée que les biens essentiels à la vie ne doivent pas être à la merci du marché. Quant à l'idée de la solidarité Nord-Sud et des devoirs des pays riches envers les pays pauvres, elle remonte au pape Paul VI, dans les années 1970.

Caritas in veritate renouvelle donc la doctrine sociale de l'Église catholique au regard des évolutions intervenues sur la scène internationale depuis la parution de la dernière encyclique  sociale Centesimus annus, de Jean-Paul II en 1991.

Texte de Caritas in veritate (en pdf)

La doctrine sociale de l'Église :

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