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Jean-Placide KEZA


 
 

Qui suis-je ?

Je suis Docteur ès Sciences économiques, instructeur en Sûreté aérienne et en Sûreté Maritime et Portuaire.


Ci-dessous on trouvera le curriculum de ma formation.

2014

Instructeur en sûreté maritime, Agence de Sûreté Maritime et Portuaire, SURTYMAR

2013

Instructeur en sûreté aérienne, École nationale de l’aviation civile (ENAC), Toulouse

2013

Certificat d’expertise en développement durable, Institut d’Études Politiques d’Aix en Provence

1994

Doctorat es sciences économiques,Faculté d’économie appliquée, Université de droit d’économie et des sciences d’Aix-Marseille

1991

Diplôme d’Études Supérieures en Management, Université de Toulon et du Var

1990

Diplôme d’Études Preparatoires Comptables et financieres, Académie d’Aix-Marseille

1988

Diplôme d’Études supérieures spécialisées en transports aériens Institut de formation universitaire et de recherche du transport aérien

1988

Diplôme d’Études supérieures  en Gestion du transports aériens Institut de formation universitaire et de recherche du transport aérien

1986

Maîtrise es sciences économiques, Mention Économie d’Entreprise, Université de Toulon et du Var

 

 


 

A propos de ma thèse de doctorat

Titre

La recherche d'une source optimale de financement des flottes des compagnies aériennes

Sous la direction de : Philippe BARTHÉLÉMY

Nombre de pages : 361

Université Paul Cézanne Aix-Marseille 3

Année : 1994

 

Résumé

 

L'objet de la thèse est d'analyser les différents modes de financement à la disposition des compagnies aériennes pour l'acquisition de leur flotte. Cette étant par défnition un acte d'investissement tout en se basant sur les données des entreprises de transport aérien. En tenant compte de leurs spécificités, difficultés et de l'environnement économique, il s'agit ensuite de proposer un ou plusieurs moyens de financement capable de remplir les conditions requises par les compagnies en vue de l'acquisition des avions civils. En d'autres termes, choisir une source optimale de financement.



About my doctorate dissertation

Title

Research of an optimal source of financing airlines fleet

Abstract

The aim of this thesis is to analyse the different methods of financing in vue of the acquisition of their fleet. This operation is by definition an instrument for the investment of air transport firms. The study is to focus the very notion of investment is order to establish it's correlation with the datas of such enterprises. The analyse of the specificities and difficulties of the economic environment will help us to propose one or several means of financing in vue of answer to the required conditions for these firms in order to by new planes. In other words, chosing an optimal source to finance their investment.

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques articles

 


 

Jean-Placide KEZA

Monnaie et développement :

De la responsabilité française dans la gestion du franc CFA

L'avenir alarmiste du franc CFA a suscité une véritable levée de boucliers de la part de chefs d’Etats africains et occasionné un débat autour de la monnaie CFA. Aimé Mianzenza, Président du Centre d’études stratégiques du bassin du Congo (CESBC.org) toujours prompt à réagir, adepte de la réflexion constructive ne s’est pas privé de s’inviter au débat. Sauf que qui dit débat dit contradiction. Le point de vue d’Aimé Dieudonné Mianzenza n’y échappe pas. Tous les arguments développés dans cet article ne sont pas exempts de reproches. C’est pourquoi, je me permets d’y répondre et d’apporter ma contribution à la réflexion sur le franc CFA.

Pour commencer, il faut rendre à « César ce qui est à César » et à « Mianzenza ce qui est à Mianzenza ». L’analyse d’Aimé D. Mianzenza a un grand mérite : celui d’avoir introduit dans le débat le concept de confiance. En effet, si on se réfère à la théorie économique traditionnelle, la monnaie n’a aucune importance dans l’économie. Elle est considérée comme neutre lorsque les prix des biens dans leur ensemble sont équilibre. Autrement dit, la monnaie ne participe pas à la formation de cet équilibre. Hors le fait de déterminer un niveau nominal des prix qui n’influence pas les décisions des acteurs économiques, la monnaie n’a aucun effet sur la stabilité des marchés. Ce rôle est dévolu à la main invisible du marché.

C’est cette même logique  qu’on retrouve dans la conception moderne de l’économie. Avec pour différence que ce sont les anticipations dites rationnelles qui en sont les opérateurs et toujours le marché surtout, l’efficience des marchés financiers qui joue le rôle important.

En parlant du leadership de Paul Kagamé pour le cas du Rwanda et du discrédit de Robert Mugabe pour le Zimbabwe pour expliquer les performances de leurs économies, Mianzenza considère la monnaie comme n’étant plus neutre et la confiance comme élément capital dans la dynamique d’une économie.

 

 


 

Jean-Placide KEZA

L’État en Afrique : illusion ou absence d’État ?

L’État en tant que forme structurante de la société internationale héritée de la Société des Nations (SDN) est un legs du colonisateur. Tout laisse à croire que cette structure étatique n’a pas résisté aux épreuves de l’indépendance.

 

Pour connaître la véritable nature de « l’État africain », il est nécessaire de faire appel aux critères juridiques, politiques et socio-économiques retenus comme universels et de faire référence aux données institutionnelles et sociologiques.

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Jean-Placide KEZA

 

Les enjeux économiques de la bancarisation en Afrique subsaharienne

 

Le concept de croissance économique est difficile à cerner. Les économistes s’interrogent encore aujourd’hui sur ce qu’ils savent de la croissance et sur la meilleure manière de définir une politique économique en l’absence de modèle fiable. Il n’en demeure pas moins que l’accélération de cette croissance économique est la grande priorité des responsables politiques  dans la plupart des pays, dans l’espoir de faire reculer la pauvreté et de relever le niveau de vie de la population.

Pour l’Afrique qui n’est pas en marge du phénomène, le problème se pose différemment.

En effet, depuis quelques années, l’Afrique subsaharienne connaît une croissance économique soutenue, avec de taux qui dépassent 5% par an. Ces chiffrent souffrent d’une contestation qui touche à la fois au concept même de croissance économique et au manque de fiabilité de l’appareil statistique. En Afrique subsaharienne, la poursuite de la croissance se heurte à un obstacle fondamental : la fragilité des secteurs financiers. La pérennité de la croissance économique ne peut pas se faire sans la mise en place d’une infrastructure financière sur laquelle elle peut s’appuyer. Des secteurs financiers solides profonds et efficients sont donc indispensables pour l’Afrique pour, améliorer le climat des affaires et créer les conditions dont l’économie a besoin pour « booster » la croissance.

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Jean-Placide KEZA

Salaires et paupérisation urbaine en Afrique noire

Dans cet article "retrouvant les travaux de R. Mahieu, Jean Placide Kezar étudie les solidarités communautaires africaines, les activités des individus étant largement socialisées avec concurrence entre investissements économiques et investissements sociologiques dans un contexte où le salaire se présente comme « pivot de l'économie de la parenté »" (p. 234).

Article publié dans la seconde partie de l'ouvrage collectif sous la direction de Roland Garnier et Martine Robert, (2003), Culture et structures économiques, Paris, Economica, 2002, 318 pages.

 

On peut consulter une analyse de l'ouvrage par Guy Caire dans  « Analyses bibliographiques », Revue Tiers Monde 2003/2 (n° 174), p. 471-479. DOI 10.3917/rtm.174.0471

 

 

L'article est disponible en ligne à l'adresse

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http://www.cairn.info/revue-tiers-monde-2003-2-page-471.htm

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Les ouvrages

 


 

Pourquoi l'Afrique subsaharienne ne se développe pas... pour l'instant !      -     Ouvrage à paraitre au 4ème trimestre 2017


 

 

Préface de Roland GARNIER

 

Les interrogations des économistes, des responsables gouvernementaux et de diverses institutions internationales face à l'échec, notamment en Afrique, des aides1 au développement consenties par le monde riche devaient inévitablement surgir un jour ou l'autre, après quatre ou cinq décennies de gaspillages manifestes et de patente inefficacité. Peu importe ici (et désormais) de savoir si l'effort consenti a vraiment atteint un pourcentage prédéfini du PIB des pays donateurs, proportion dont nul ne sait d'ailleurs l'origine et la signification exactes parce qu'en pourcentage du PIB des nations bénéficiaires cette aide était en général très substantielle et car l'inefficacité de ces prêts - d'ailleurs souvent suivis de moratoires, de ré-échelonnements ou de renégociations - et/ou de ces dons est telle que J'on est bien souvent et logiquement tenté de se dire qu'il est encore heureux qu'ils n'aient pas revêtu une ampleur plus grande.L'aide aux pays moins développés fut définie en des temps où les sirènes d'un constructivisme à l'occidentale laissaient faussement supposer que l'état des connaissances économiques rendait tout possible pourvu que soient injectés les moyens financiers adéquats, en des temps aussi où les décolonisations encore récentes conduisaient ombre de pays occidentaux à cultiver une culpabilité paralysante, excluant tout contrôle d'opportunité (a priori) quant aux projets envisagés et aux sommes demandées par les receveurs d'aide, ainsi que tout contrôle a posteriori de la pertinence des usages qui en avaient réellement été faits.

 

Télécharger la préface  ici

 

 

 

 

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